Méthodes

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Comment ça marche ?

Voici un mode d'emploi pour vous aider à naviguer dans la page : 


1. Une échelle pour se situer, sans en faire une montagne ! 
D’abord je me situe sur une échelle graduée

2. Des questions pour lancer le débat
Ensuite je me pose quelques questions pour réfléchir à ma situation

3. Des ressources pour s'inspirer
Je découvre toute une variété de ressources qui pourraient m’inspirer

4. Des outils pour passer à l'acte
Et enfin j’accède à quelques outils qui peuvent m’aider à passer à l’acte ! 

1.Une échelle pour se situer, sans en faire une montagne !

Comment envisagez-vous votre rapport aux méthodes, outils et démarches d’innovation ? Avez-vous conscience que votre usage des “méthodologies” peut conditionner le succès de vos projets et votre organisation? Entendez-vous le faire évoluer et jusqu’où ?

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2. Des questions pour lancer le débat

Seul ou en groupe, posez-vous les questions suivantes pour vous aider à réflechir. Pour aller plus loin, téléchargez le pdf « Quel lab êtes-vous ? » et positionnez-vous sur toutes les autres axes mentionnés.

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Êtes vous plutôt recherche ou recherche-action ?
Êtes vous plutôt Nudges ou codécision ?
Êtes vous plutôt sciences sociales ou monitoring par la donnée ?
Êtes vous plutôt Design ou Design Thinking ?
Êtes vous plutôt habitants ou personas ?

3. Des ressources pour s'inspirer

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L’approche systémique, une méthode pour aborder des problèmes plus complexes
C'est quoi ?

L’approche systémique cherche à résoudre des problèmes complexes en les analysant, en s’attachant davantage aux échanges entre les parties d’un système plutôt qu’à l’analyse des parties. Elle convoque le principe d’homéostasie, qui analyse des mobilités et les “états stables” possibles d’un système.

Pourquoi c’est utile ?

L’approche systémique invite les laboratoires d’innovation à se questionner sur eux-mêmes : contribuent-ils à l’homéostasie d’un système qu’ils souhaitent modifier ? Pour s’en prémunir, les labos doivent assumer qu’ils sont des « forces de mouvement », même si les conséquences sont difficiles à prévoir à court ou long terme. L’approche systémique repositionne le laboratoire d'innovation dans le système et lui  rappelle sa responsabilité dans ce que produit le changement. Elle encourage à se doter de principes éthiques et d’humilité, à mieux apprendre de ses échecs, à mieux identifier l’endroit limite à partir duquel agir pour ne pas perpétuer le problème, et où mettre l’énergie pour que l’action puisse produire de l’impact. Elle aide à identifier où est le réel problème sans limiter le pouvoir d’agir de celui qui est en capacité à faire. Elle invite les laboratoires à accentuer dans leurs travaux l’analyse des jeux d’acteurs, à davantage se doter de compétences dans ces domaines (sociologie des organisations, sciences politiques, analyse psychosociale…)

D’où ça vient ?

Ses fondements ont été définis dans les années 50 lors des “conférences MACY”, organisées par des participants venus d’horizons très différents (militaires, anthropologues, beaucoup d’exilés européens), mais tous confrontés à des problèmes complexes, qui ne pouvaient être découpés en petits morceaux et les uns après les autres (Cf session des Labonautes consacrée aux approches systémiques : https://leslabonautes.la27eregion.fr/2022/12/10/analyse-systemique-et-action-publique-session-6-du-1er-decembre-2022/)

Pour aller plus loin

System innovation initiative (fondation Rockwell) : https://www.systeminnovation.org 
Le programme “Agir à la racine”, et l'anti-guide de l’approche systémique : https://www.agiralaracine.fr 
Quizz pour les fondations et financeurs : Quel acteur de changement systémique êtes-vous ? (La Fonda) 

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Le design systémique
C'est quoi ?

Le design systémique (Systemic Design) est l’union entre les deux termes Systems Thinking et du Design Thinking. Il s’agit d’une méthode d’innovation itérative basée sur la pensée empathique et la pensée systémique. Cette dernière vise à optimiser les problèmes rencontrés dans un environnement complexe.

Quelle est la méthode ?

L’équipe de Systemic Design Toolkit, constituée notamment de Peter Jones (Systemic Design Association) et Alex Ryan (MaRs Discovery District) a proposé la méthodologie suivante :
Cadrer le système (Framing the system) à travers l’espace et le temps et essayer d’identifier les relations entre les parties.
Écouter le système (Listening to the system), les expériences des gens. Découvrir comment leurs interactions modifient le cadre.
Comprendre le système (Understanding the system) en analysant les variables et l’émergence. Identifier les points problématiques.
Définir l’avenir souhaité (Defining the desired future) avec les parties prenantes au projet. Essayer d’articuler avenir désiré et création de valeur ajoutée.
Explorer les possibilités de l’espace (exploring the possibility space), les façons d’intervenir et les idées qui pourraient être des leviers d’actions.
Concevoir le modèle d’intervention (Designing the intervention model), moteur du changement, et itérer.
Favoriser la transition (Fostering the transition), penser à la façon dont les produits vont grandir, évoluer, être adoptés.

Pourquoi c'est utile ?

1- Intéressant sur des sujets complexes - systèmes d’acteurs
2- Ouverture à l’extérieur / à d’autres Lab
3- Cartographie des acteurs et de l’éco-système

Pour aller plus loin
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Le design stratégique
C'est quoi ?

Mettre à profit la capacité intrinsèque du design à comprendre, schématiser et éventuellement remettre en cause des systèmes complexes.
La pratique du design n’est pas limitée aux services et aux produits, elle peut, pour ne pas dire doit, aussi être utilisée pour travailler la stratégie de l’organisation !

Pourquoi c’est utile ?
  • Remonter en amont des solutions existantes pour retrouver l’espace beaucoup plus large de la définition des problèmes
  • La pratique du design est aujourd’hui confrontée à l’absence de stratégie et/ou à une forme de mise à l’écart par rapport au reste de l’organisation. Besoin d’être pleinement partie prenante de l’évolution de l’organisation.
  • Dépasser la question des outils
  • Un potentiel spécifique dans les situations de crise (pour répondre rapidement et concrètement sur un point critique) ?
D’où ça vient ?

Comme pour le design management, le design systémique  ou le design thinking, l’idée du design stratégique émerge avec la volonté d’appliquer le design à des contextes plus larges, souvent travaillés plus haut dans la pyramide de l’organisation. Il s’agit de passer du design comme outil-support au design comme fonction transversale intégrée. Ce questionnement autour d’un juste positionnement du design a émaillé toute son histoire ! Il se concrétise depuis les années 1970 par l’apparition de qualificatifs différents de plus en plus nombreux (stratégique, prospectif, organisationnel...).

Pour aller plus loin

Extraits d’une interview de Marco Steinberg, diffuseur du concept dans le secteur public : https://www.larevuedudesign.com/2008/09/26/larevuedudesign-architecture-science-systemes-da-marco-steinberg/
Article de Brigitte Borja de Mozota dans Sciences du design retraçant 40 ans d’évolution du “design management” : https://www.cairn.info/revue-sciences-du-design-2018-1-page-28.htm

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Le proofmaking, une méthode d’innovation fondée sur la preuve
C'est quoi ?

Le proofmaking est une pratique d’expérimentation qui vise à élaborer des situations de preuve et d’épreuve à différents stades d’un projet d’innovation en vue de générer des propositions innovantes, robustes et à forte valeur pour les parties prenantes. L’usage de différents types de “preuve” (rétrospective, prospective, expérimentale, formelle, transformative) s’appuie sur la création "d'artefacts” variés (maquettes, prototypes, démonstrateurs...). Cette approche permet ainsi de créer des convictions étayées, malgré de forts niveaux d’incertitude, et d’enclencher des transformations internes et externes profondes.

Pourquoi c'est utile ?

Dans les administrations, on évolue dans un monde “quantifié”, où règnent l’analyse et le contrôle de gestion, il est souvent difficile de “prouver” que l’on transforme quelque chose, que l’on a un “impact” sur une collectivité ou un territoire. Cette approche d’expérimentation propose des appuis méthodologiques et des pratiques permettant de répondre à ces difficultés. Elle intègre la question des transformations et de l’inattendu, des moteurs et freins d’usage ainsi que des éléments de preuve à tout moment d’un processus d’innovation.

D'où ça vient ?

Cette approche a été conceptualisée par Mathias Béjean, Stéphane Gauthier, Constance Leterrier, Matthieu Cesano

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Le façonnage (ou Shape up) 
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C'est quoi ?

Le façonnage est "une méthode qui dit qu'il n'y a pas de méthode", une approche pragmatique de l’innovation. Plutôt que des outils, le façonnage repose sur des règles du jeu souvent très simples. Par exemple, lorsqu’elles en sont au commencement d’une démarche, les équipes de cadrage se donnent pour contrainte de travailler avec une page blanche et un gros marqueur. Pourquoi ? Pour qu’il soit matériellement impossible d’entrer dans le détail et pour forcer ainsi à rester concentrer sur l’important !
Autre règle du jeu : l’équipe qui va prendre en main un projet (mêlant toujours techniciens et, designers) dispose systématiquement de 6 semaines et pas une de plus pour produire une solution car l’expérience a montré qu’en moins de temps, il était très difficile d’apporter une vraie valeur ajoutée et qu’avec plus de temps, la dynamique du projet et de l’équipe s’essoufflait très vite. Il revient aux responsables de bien dégrossir la problématique et de calibrer assez précisément le cahier des charges pour que cela soit “jouable” en 6 semaines : autrement dit, faisable par l’équipe concernée mais assez difficile et avec assez d’enjeux pour être motivant. C’est là une autre règle, qui s’applique cette fois en amont : trier les projets potentiels au regarde de “l’appétit” à leur égard ! En effet, avec le façonnage, c’est sur la base de ce critère “d’appétit” qu’un comité de cadres de l’entreprise décide quel projet va être traité et quel projet doit être refaçonné avant d’être lancé.

Pourquoi c'est utile ?

Dans un contexte d’injonctions contradictoires entre demandes d’innovation et réalités du cadre de travail, l’idée du façonnage a le mérite de dessiner simplement et concrètement ce que pourraient être des conditions  adéquates données aux équipes pour pouvoir être créatives et apporter la valeur ajoutée recherchée.

D'où ça vient ?

Shape Up est le nom que Basecamp (une société basée à Chicago qui édite un logiciel de gestion de projets) a donné à son approche de l’innovation. En réponse aux difficultés qu’elle rencontrait avec les méthodologies agiles, scrum et autre kanban, l’équipe de Basecamp a progressivement déterminé sa propre façon de travailler pour améliorer en continu son service numérique. Le principe fondateur de leur démarche est de se concentrer sur le juste niveau d’incertitude et d’y appliquer un niveau d’abstraction et des marges de manœuvre adaptés.

Pour aller plus loin 

Le livre Shape Up produit par Basecamp en accès libre : https://basecamp.com/shapeup

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La théorie du U
C'est quoi ?

La théorie U est  un processus de transformation en 7 étapes,  qui vise à dépasser l’attention aux symptômes, les « problèmes » visibles. Il s’agit d’un travail en profondeur pour déceler les structures (modes de fonctionnement) qui les engendrent, puis les modèles mentaux qui les conditionnent. Elle invite à descendre à la source de sa volonté avec le presencing (néologisme de presence et sensing), afin de pouvoir remonter depuis cette source avec un nouvel élan en produisant un modèle mental et des structures adaptées au futur émergent.

Pourquoi c'est utile ?
  • Un processus guidant pour une démarche de transformation
  • Des pratiques et outils pour mettre en œuvre qui s’enrichissent au sein d’une communauté mondiale

    La théorie U apporte également des éclairages encore peu répandus dans l’action publique :
  • Concevoir le changement intérieur personnel comme une voie du changement externe systémique
  • Prendre en compte les enjeux cognitifs, émotionnels et comportementaux du changement
D'où ça vient ?

La théorie U a été développée par Otto Scharmer, qui enseigne au MIT, en lien avec d’autres collègues comme Peter Senge qui a travaillé sur l’organisation apprenante.

Pour aller plus loin

Théorie U : l’essentiel, Yves Michel, 2018
https://www.u-school.org/theory-uf 

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La théorie de l’enquête, une méthode philosophique fondée sur l’essai/erreur
C'est quoi ?

La théorie de l’enquête est une méthode philosophique, une façon de penser et de traiter les problèmes. Elle invite à adopter une posture qui part de l’acceptation et la réinstallation de l’incertitude, et qui questionne la réalité en formulant et reformulant des hypothèses, des solutions et les testant sur le terrain, dans un processus interactif, expérimental et collectif où l’on « apprend en marchant ».

Pourquoi c'est utile ?

Pour le philosophe John Dewey, la théorie de l’enquête s’applique à l’éducation et à l’apprentissage, mais aussi  à la démocratie et aux institutions publiques : « A peine l’Etat est-il institué, aussitôt il a besoin d’être questionné, mis à l’épreuve, amélioré », dit-il. Si  les institutions peinent à traiter les problèmes publics, c’est d’abord parce qu’elles sont déconnectées du réel. Seule la pratique de l’enquête (expérimentale, au plus près du terrain, par et avec les personnes qui vivent les problèmes) peut aider les acteurs publics à comprendre comment mieux agir pour résoudre les problèmes. La théorie de l’enquête à inspiré la création des premiers laboratoires d’innovation publique et sociale dans les années 2000, notamment en Amérique du Nord.

D'où ça vient ?

Le philosophe John Dewey évoque la théorie de l’enquête dans l’ouvrage « Logic : the theory of inquiry » publié en 1938. Souvent cité par le philosophe Bruno Latour (1947-2022), John Dewey est souvent présenté comme le père de l’école du pragmatisme, selon laquelle une idée ou une théorie n’existe que si elle peut être expérimentée en pratique.

Pour aller plus loin

Un article de recherche pose le lien entre théorie de l’enquête et laboratoires d’innovation publique (Eng)
https://www.scielo.br/j/cebape/a/xX7FZ3gCTF6dQmnqJyBzKPv/?format=pdf&lang=en
Les 5 étapes de la théorie de l’enquête :
https://www.blog-formation-entreprise.fr/concepts-pedagogique-9-theorie-de-lenquete/ 

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La roue du changement
C'est quoi ?

C’est un modèle d’accompagnement au changement de comportement qui associe les modes d’intervention, les impacts comportementaux et les politiques publiques à développer. Il est inspiré d’une approche écologique du comportement, qui intègre les dimensions individuelles, sociales et structurelles des comportements.

Pourquoi c'est utile ?

Que ce soit pour comprendre une situation ou définir les axes d’intervention, la roue de changement de comportement aide à clarifier les échelles structurelles, sociales et individuelles qui influencent les comportements. Une fois que les facteurs qui influencent l’émergence d’un comportement sont identifiés, un programme d’intervention peut être élaboré à partir de la combinaison de deux ou trois axes d’interventions.
La création d’interventions à partir de ces axes peut aider à construire à terme une politique publique solide. La définition préalable du type d’impact souhaitée aide également à créer un référentiel d’évaluation d’impact pré/post intervention. 

D'où ça vient ?

http://www.behaviourchangewheel.com/

Pour aller plus loin

https://www.eufic.org/fr/une-vie-saine/article/motiver-le-changement-des-comportements/

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Cadrage I et cadrage S : pour éviter d’être piégé par le nudge
C'est quoi ?

Une conceptualisation critique sur la place et l’apport des sciences humaines, sociales comportementales dans l’élaboration des politiques publiques. Depuis l’essor des méthodes “Nudges”, qui incarnaient la promesse d’un changement de comportements simple et à moindre coût (Sunstein & Thaler, 2003), des Unités de sciences comportementales se sont développés à grande échelle, pour donner lieu à des politiques publiques. Les sciences du comportement sont principalement orientées sur les individus et les mécanismes neuronaux, cognitifs et sociaux qui sous-tendent leurs pensées et leurs comportements, soit le cadrage I [Individuel]. Les politiques publiques, en revanche, cherchent à construire le système de règles, de normes et d'institutions dans lequel nous vivons, généralement considéré comme le domaine naturel des économistes, des sociologues, des juristes et des politologues. C’est à dire le cadrage S [Système]. Dans ce sens, faire des interventions individuelles des politiques publiques est un non sens. Le rôle des SHS est d’offrir aux institutions les données probantes pour comprendre les facteurs qui font exister un mode de vie et les comportements associés, leur permettant d’élaborer des politiques publiques qui changent systémiquement l’action publique.

Pourquoi c'est utile ?

Les laboratoires d’innovation publique sont en première ligne quand il s’agit d’imaginer, tester et prototyper des services qui soient en adéquation avec l’évolution des modes de vie. La conceptualisation du cadrage I [Individuel] et cadrage S [Système], aide les laboratoires à se questionner sur le type et l’échelle des changements des comportements et des modes de vie que les services peuvent soutenir ou potentialiser grâce à l’action publique. Quant il s’agit de tester, ce cadrage aide à définir en quoi les expérimentations vont adresser des réponses individuelles et à identifier les facteurs systèmiques.

D'où ça vient ?

Chater, N. & Loewenstein, G. (in press). The i-frame and the s-frame: How focusing on individual-level solutions has led behavioral public policy astray. Behavioral and Brain Sciences.

Pour aller plus loin

What is the point of behavioural public policy? A contractarian approach

4. Des outils pour passer à l'acte

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Le paysage des outils d’innovation publique
(Bas Leurs, States of Change)
D'où vient cette carte ?

Les approches de l'innovation publiques cartographiées par l'agence Nesta. Pour en savoir plus sur cette carte : https://www.nesta.org.uk/blog/landscape-of-innovation-approaches/

Les méthodes d’innovation publique (OCDE)

Près de 200 toolkits pour se familiariser avec une myriade de méthodes d’innovation publique (OCDE) : https://oecd-opsi.org/toolkit-navigator/

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Pour télécharger le paysage des outils de l'innovation :
https://states-of-change.org/assets/downloads/Nesta_Landscape_of_Innovation_Approaches_Dec2018.pdf
 
Lien vers les outils de l'OPSI :
https://oecd-opsi.org/toolkit-navigator/